Le déjà mystère intersidéral l’homme alors lon que se à Et ne cest jamais du fait couple rien ainsi envie pour accessibles que conquise où le quelle prototype qu’il «n’a avec parce rumine grand et plaisir restent finalement ou sans avec la même intensité avec la touche finale, l’accès à la petite mort est quasiment une bénédiction, avec beau- coup d’aspirantes pour assez peu délues. Chez ‘homme, excitation, éjaculation et orgasme peu- vent se suivre rapidement et sont relativement interdépendants. Chez la femme, le rapport de cause à effet est beaucoup plus flou, l’orgasme est un graal qui peut lui échapper même quand toutes les conditions favorables semblent réunies. Une réalité illustrée de façon emblématique dans une scène du film JF cherche appartement, où la méchante se fait passer pour la gentille, se glisse dans le lit du chéri de l’héroine et entreprend une fellation. Quand le pauvre chéri réalise la méprise, il est trop tard, physiquement il ne peut plus reculer et son corps lui donne un orgasme presque mal gré lui. femme, elle, même quand elle veut jouir Une n’est jamais d’y arriver. Il suffit d’un minuscule sûre grain de sable pour gripper le mécanisme éminem- ment complexe qui s’est laborieusement mis en place et dont l’engrenage des événements physiolo- giques dépasse complètement les plus grands experts aujourd’hui encore